(Journaliste Wu Jingjing)
En tant que l’un des « artisans de Jing’an », Wu Gongbao de Jing’an Architectural Decoration Industrial Co. Ltd. a consacré toute sa vie aux vieilles maisons. Depuis qu’il est entré, à 19 ans, au système du Bureau de l’immobilité et de la terre du district de Jing’an comme un réparateur de maison, il s’est battu contre du travail pénible pendant des quelques décennies dans ce domaine. Avec assiduité et cherche, il est devenu le « pilier » technique de la société. Wu a battu son empreint ferme dans les constructions historiques telles que Shanghai Pujiang Hotel, Hengshan Moller Villa, AIA Building, Maison commémorative du Deuxième Congrès du PCC, etc.
En juin 2008, on a commencé un nouveau tour de reconstruction et de réparation à la maison commémorative du Deuxième Congrès du PCC. Parlant des détails de ce projet, le temps de cette époque passe à la tête de Wu Gongbao : « pour ronger cet ‘os dur’, mes collègues et moi, nous avons presque travaillé sans manger et sans dormir. » Car la maison commémorative fait partie du complexe Shakkumen de deux étages et selon le dessin de conception, le hall de préface doit traverser tous les deux étages pour élever la hauteur globale et donner aux visiteurs une vue large. En raison de la structure de briques et de bois, les piliers dans chaque pièce soutiennent le premier étage. Si les piliers portants sont démontés, cette vieille construction avec une histoire de plus de 90 ans risquera de s’effondrer. Les difficultés affrontées ont paralysé le travail de Wu Gongbao et ses collègues. Pourtant « surmonter les difficultés » n’est pas du tout des belles paroles. Il a guidé ses collègues à prendre deux semaines pour les idées, les projets, les dessins changés pour plusieurs reprises avant d’achever finalement un plan applicable. « Nous avons pris la mesure sur trois fronts pour résoudre ce problème. Tout d’abord, on a ajouté quelques piliers au mur portant nord-sud, et puis ajouté le mur de contreventement partiel à endurer la force, enfin, on a consolidé la fondation par le biais de piles de renforcement sous la terre. » Eventuellement, ce plan a marché et a créé le record du premier de Shanghai. La Maison commémorative du Deuxième Congrès du PCC réparée réserve encore le style architectural de cette époque-là. Sous le pavillon du Parti dans le hall, les visiteurs peuvent se sentir l’esprit d’acharnement et de combat comme si l’on était sur place Le 5 mars 2013, la Maison s’est mise au rang du septième lot d’unités nationales de protection des reliques culturelles clés par le Conseil des Affaires d’État.
A partir de 2010, Wu Gongbao a participé avec son équipe aux travaux de démantèlement et de reconstruction des bâtiments réservés près de la station Nanjingxilu le long du N°12 du métro. C’est le plus difficile à Shanghai, voire dans tout le pays. Wu et son équipe de projet ont examiné et corrigé toutes sortes de dessins et exigé aux travailleurs de construction de conserver, en respectant les règles des opérations de protection des travaux de construction, toutes les briques, tuiles, portes et fenêtres soigneusement démontées dans la température constante et de réparer le pan de comble, les murs extérieurs et l’arc-rampant comme ils étaient auparavant. Au cours de la reconstruction, la sculpture sur brique était sans aucun doute une pierre de touche pour Wu Gongbao. « La sculpture sur brique n’est pas pareil que la sculpture. On fait la soustraction, parce qu’il est impossible de coller de nouveau un morceau percé à la brique. » Donc, il a exercé des contrôles sérieux sur la sélection des briques et des matériaux ainsi que sur la sculpture. Il a frappé et battu chaque brique en personne pour écouter le son, parce qu’il est difficile de faire tomber le burin si le son est trop grave et que la brique est facile à casser s’il est aigu. Et chaque burin est fait par lui sur mesure et varié selon les techniciens différents. C’est grâce à sa minutie et ses efforts que les travaux de la station de rue ouest Nanjing le long de N° 12 du métro sont accomplis avec grand succès et réservent au maximum le style original des bâtiments historiques.
Récemment, il se donne au travail de réparation des bâtiments historiques situés à Dongsiwenli. Il est en trains de déployer tous ses efforts de bien protéger ce complexe Shakkumen pour le transmettre aux descendants. Il y avait quelque qui avait fait plaisanterie de Monsieur Wu de dire que son os était fait de béton, le ciment coulait dans son sang et quelques briques s’empilaient dans sa tête qui ni savait pas tourner. Mais il a dit avec sourire : « les personnes souples à la société sont assez bien nombreux. Moi, je n’en fais alors pas partie. Wu Gongbao prend au sérieux tous les projets, n’importe grands ou petits. C’est le vrai esprit d’artisan.
(Source : Journal de Jing’an)